La Réunion

Sur une ruelles mal fréquenté de ville ce tien le 822, une petite maison sans fenêtre et a peine visible au premier coup d'oeil. Son toit ne tenais que par le soutient des maisons avoisinantes, mais pour celui qui connaissait l'endroit, il savait que sons sous-sol renfermait les plus époustouflante surprise...

Ismaël s'approcha de l'homme. Il prit d'abord le temps de l'observer, pour savoir quel genre d'homme il était. Il avait l'air convaicant et beau-parleur; il faudra faire attention à ne pas se laisser séduire trop facilement.

Pardonnez-moi, mais vous m'avez interrompu dans ma prière tout à l'heure. Malgré votre insolence, la bonté me dicte de vous aider, et le bon sens de vous surveiller. Qu'est ce que c'est que cet Ézertha. Le peuple n'a pas besoin d'être libéré, il l'est déjà, il est seulement rejeté.

Sans perdre une seconde pour s'enfoncé dans ses pensé, Godric lui répondit aussi simplement que s'il achetait du lait. Son air naturel et franc le rendait convivial et donnait envie d'etre son ami.

Premièrement, je suis très content que vous soyez venu, votre prèsence m'honore et votre saint esprit me bénis. En ce qui à trait à Ézertha, c'est de mon initiative; un groupe d'hommes et de femmes rendant aux humains la fierté dont ils on besoins. Comme vous l'avez spécifier, le peuple n'a pas besoin d'etre libre, mais respecté, il a besoin de la flamme qui jaillit dans les yeux d'un hommes lorsqu'on lui parle de sa patrie, cette même flamme qui rend le monde plus joyeux et agréable, et c'est en ce monde que je veux vivre et faire vivre mes enfants.

Il faut dire qu'il n'avait pas tord, mais une telle entreprise serait périlleuse et longue, et peut-être dangereuse...

Écoutes-moi, votre objectif est bon. Ce qui m'inquiète, c'est la manière dont vous tenterai de l'atteindre. Si vous faites une guerre, nous la perdreront sans doute, à moins d'avoir une force que nous ne possédons pas. Ce que nous n'avons pas, nous ne l'avons pas parce que nous sommes inférieurs, pas en intelligence, mais en nombre. De plus, les elfes et les chiziques n'aimeront pas nous voir nous prendre main, il faudra être sur ses gardes et agir intelligemment. Cela dit, je veux bien vous aider, mais d'abord, expliquez-moi quels son vos idées. Je vous dirai ce que j'en pense.

Bien ! Je ne vous sens pas très optimiste mais plutot réaliste, je suis pourtant certain que mes idées vous plairons! Premièrement il faut redonner la force nécessaire aux nôtres pour ce lever et prendre la place qu'il leur est du, et pour cela il faudra commencer par convertir massivement des partisants du projet Ézertha. Lorsque notre groupe aura une influence considérable nous pourrons lancer la phase deux, celle d'agrandir la forteresse, et d'en faire une vrai cité, pour que tous les citoyens puissent vivre dans un minimum de confrot sans subir des attaques de l'exterrieure. Jusque là je ne crois pas que ni les Elfes ni les Chiziques ne s'opposerons a notre développment. Ensuite pour relancer l'écnomie j'ai pensé d'exploité les gissements de minerais dans la clarière des fées, peut de gens connaisse son existence, mais en créant une entreprise d'état, nous serions en mesure de nous financer d'autres institutions et même une millice pour assurer l'ordre et la propérité. Qu'en pensez vous ?

Je dois dire que vous voyez grand. Et je dois vous avouer que, par opposition, le seigneur de la ville ne fait pas grand chose. Quand l'Église a proposé de rassembler tous les prêtres du continents en une seule guilde pour s'organiser et s'entraider, il a dit que c'était effectivement une bonne idée, mais a refusé de nous aider. Il a peur de s'impliquer, et est trop paresseux pour fournir de l'effort. J'y avais déjà pensé, et voilà ce que je vous propose. L'Église a beaucoup d'influence auprès du peuple, et je suis le seul prêtre de la ville. Les gens m'écouteront, je peux les convaincre. Mais il faut faire ça plus subtilement, par le biais des guildes. C'est un système ou chaques groupes de travail se rassemblent et ou un chef est élu et prend les décisions importantes. Déjà, un grand rassemblement des autorités religieuses est prévue. Il faudra rassembler les artisans, les guerriers, les ménestrels, etc. Ainsi, nous aurons le pouvoir sur tout le monde, mais de manière démocratique. Nous pourrons diviser le travail, chaque groupe s'occupant d'une tâche bien précise. Qu'en pensez-vous?

Bien, c'est un bon début. Avec votre aide nous aurions sans trop de difficulté l'Église de notre côté, et si chaque pretre de chaque petit village humain pouvais ralier a notre cause le maximum d'homme possible nous aurons rapidement de quoi renverser ce qui sert actuellement de chef aux hommes et continuez d'étendre notre influence. Est-ce que je peux appeler ça un partenariat ?

Ça dépend. Premièrement, je pense que renverser le pouvoir causerait trop de problèmes. Il vaut mieux les contrôler, les forcer à nous obéir. Toutes les guildes réunis seront un trop grand pourvoir pour eux. Mais nous verront ça plus lorsque le temps sera venu. Deuxièmement, vous, que ferez vous la dedans? Qu'est ce qui me dit que je peux vous faire confiance?

Me faire confiance ? rien, mais la seule raison que je vous accorde ma confiance devrai vous suffir, du moins pour l'instant! Bon, commencez de votre côté a réunir le plus de partisant possible et tenez moi au courant, je vais aller faire un peu petit tour en ville, j'ai besoin de quelques bricoles. Si vous avez besoin de quoi que ce soit ma maison vous est ouverte!

Donnez mes salutations au moines de votre église et mes excuses pour le dérangement!

Et bien, pensa Ismaël, voilà tout un personnage. Après tout, je n'ai rien à perdre à essayer. S'il ne fait pas son travail, je n'aurai qu'à le faire moi-même, comme d'habitude.

Puis, Ismaël repartit vers son Église, où il pourrait se préparer pour la réunion.