Retour à la case départ

Rykoff avançait un pas lent. Cela faisait au moins cinq année qu'il ne s'était pas aventuré dans le quartier résidentiel. En fait, cela faisait depuis l'incendie de sa maison qu'il ne voulait plus remettre les pieds ici. Il ralenti encore plus lorsqu'il arriva à son ancien quartier. Il s'arrêta devant un maison belle toute neuve. À cet endroit, avant, se tenait sa maison à lui. La maison qu'il avait devant lui était trait pour trait pareil à l'ancienne, ce qui lui fit un pincement au coeur, car cela lui rappelait des souvenir, surtout, l'image de sa famille en train de se faire brûler. Il sentit une larme couler sur sa joue. Il l'essuya et essaya de se rappeller d'autre souvenir, plus heureux cette fois-ci.

Par la fenêtre, tu put appercevoir une mère en train de s'amuser avec ces enfant. Il avait l'air tous très heureux. Puis, un homme mit sa main sur ton épaule. Il était très grand et imposant. Mais il n'avait pas l'aire menacant.

- Il y t-il un problème avec cette maison ?

Rykoff se retourna vers l'homme. Il se surprit par sa grandeur. Mais comme, il n'était pas facilement impressionnable, il sourit à l'homme qui le tenait par l'épaule:

-Non il n'y a aucun problème avec cette maison-ci. Mais plutôt sa ressemblance à l'ancienne et le terrain. C'était chez moi avant ici.

Il sentit encore une larme couler le long de sa joue, il se dépêcha de l'essuyer. Il rajouta:

-Avant qu'un incendit la ravage comme il l'a fait pour ma famille. Ce n'est pas pour vous faire peur que je vous dit cela. J'espère que votre famille est contente de ce logis.

Il commença à s'éloigner, il devait chercher une place où dormir cette nuit et après chercher une place pour sa maison.

L'homme te vis essuiyé ta larme.

Avant que tu ne t'éloigne trop, il te dit :

- C'est une bien triste histoire que vous venez de me conter jeune homme. Désirez-vous restez a souper avec nous ? j'avais un amis qui était sensé venir mais il n'a pas plus.
Et j'aimerais bien en savoir plus sur votre défunt famille...

Rykoff était très content. Il allait pas être obligé d'acheter un repas et puis, il mangerait sûrement un meilleur repas que si, il avait manger à l'auberge.

-J'accepte votre invitation avec grande joie. Je suis sur que votre femme fait de meilleur souper que ceux de l'auberge.

L'homme l'invita en dedans et celui-ci le suivit.

- Vous êtes un chizique, mais comment ce fait-il que votre chevelure soit d'un rouge aussi flamboyant ? Jamais je n'ai vue de telle chizique !

Il t'emmena dans une pièce qui sembla être la cuisine. Tout les murs était d'un blanc pure. Il y avait une table en son centre qui était en bois, elle était ternis par le temps. Il te présenta une chaise pour que tu puisses t'asseoir.

- Je me nomme : Barthélémy, et voici ma femme Gracia et mes deux petites fille : Lila et Océane.

Lila était la plus petite des deux et avait les cheveux blonds comme sa mère et la plus grande Océane avait les cheveux Argenté qui lui descensait jusqu'aux épaules.

Rykoff s'assied sur la chaise que Barthélémy lui pointa et il lui dit:

-Je me nomme Rykoff. Je serait peut-être le seul à avoir des cheveux de cette couleur, même si je ne les déteste pas. Mais ils n'ont pas été toujours comme ça. Avant ils étaient aussi argentées que votre petite fille. C'est dans l'incendie qui a ravager ma maison, celle qui était ici avant, que j'ai perdu ma famille, mais moi les flammes ne m'attaquaient pas. Je me suis évanoui et une poutre m'as fait une cicatrice sur ma joue, dit-il en montrant sa joue.

Il se retourna pour regarder la pièce. Elle était quasi-identique à l'ancienne. Peut-être que les ouvriers ont fait tout pareil.

-En me réveillant, mes cheveux devenant de plus en plus rouge et j'ai acquis un contrôle sur le feu. Je ne sais pas si vous le savez, mais les chiziques ont une tache de naissance à leur naissance ou qui apparait durant leur vie, et bien c'est mes cheveux qui sont ma tache de naissance.

- C'est vraiment dommage pour votre famille. Toute mes condoléances.Très original comme tache de naissance ! Moi, elle ressemble à un gros marteau de forgeron. Aujourd'hui je construis des maisons. C'est moi-même qui ai construis celle-ci...

Le père allait ajouté autre chose,mais des drôles de bruits se firent entendre à l'extérieur. Comme si quelqu'un essaiyait de voler la maison. Un vent glacial venait d'apparaitre.

-Est-ce que vous aviez trouvé les plans de l'ancienne maison, car elle est drôlement identique.

Des bruits se firent entendre à l'extérieur, comme si on essayait de défoncer la porte de la maison au lieu de frapper à la porte. Au cas où se serait des voleur qui voulaient mettre la maison à sac et blesser la famille, Rykoff chercha une flamme des yeux. Par chance, il y avait un chandelle juste derrière lui. Il allait pouvoir profiter de l'effet de surprise en plus. Il n'allait pas laisser arriver la même chose à cette famille ce qui était arriver à la sienne.

On entendit les gonds sautés et trois individus rentrer dans la maison en poussant des cris monstrueux. Ils étaient armée, et ne semblait pas être de l'armée. Ceux-ci commencèrent à réclamer tout ce qui était de valeur. Rykoff avait laissé son bâton à l'entrée, il allait donc être obliger d'utiliser son pouvoir sur le feu et fit détacher un boule de feu de la chandelle sans que personne ne s'en rendent compte. Il l'amena derrière lui et commença à la rendre plus chaude.

Tes sens t'avait trompé, car il était seul. Il avait l'air de chercher quelqu'un. Il était d'une grandeur raisonnable. c'est cheveux et sa peau était d'une pâleur extême.Il avait un badeau d'un blanc bleuté sur la tête. Tout son habit était en blanc. Automatiquement, il se dirigea là ou il avait le plus de bruit. Lorsqu'il arriva à la cuisine, un cuissant vent froid traversa la pièce.

- HA HA, vous êtes là...justement, je vous cherchais... vous n'avez toujours pas payé la taxe...

Lentement il se dirigea vers Lila, d'un air menacant il la pris dans ces bras. La petite fille, apeurée, se mit à hurlée sans savoir quoi faire. Elle se mit aussi à grelottée.

- Devrais-je la prendre comme paiement ? ...

Rykoff fut soulagé de constater que ses sens s'étaient trompées. Mais quand l'homme arriva dans la cuisine, il vit que tout cet homme était d'un blanc immaculé et qu'il n'avait pas l'intention de nommer l'homme qui l'avait si gentiment inviter, commandant de l'armée. L'élémentaliste sentit alors le froid qu'il trouva intense. Peut-être que l'homme était aussi élémentraliste avec le froid qui régnait dans la pièce.

Lorsque le nouveau venu prit Lila, il se leva d'un bond gardant toujours la boule de feu derrière lui. La pièce se réchauffa. Une moitié de la pièce était chaude et l'autre était froide. Il dit à l'inconnu d'un ton rageur:

-Qu'est que vous lui voulez à cette famille. Ce sont des gens bien. Lacher la fille ou sinon vous aurez à faire à moi.

L'intrus se désintéressa assez rapidement de la petite fille et du reste de la famille. Brutalment, il la laissa tombé à terre. Et vint te rejoindre.
Pendant ce temps, Barthélémy, alla reprendre Lila et avec son autre enfant et sa femme, allèrent se caché plus loin.

- Tes qui toi premiètement pour prendre leur défense !? Tu n'as rien à voir la dedans, Aller dégage !!

Tout ce qui était derrière lui se mit à congelé, le sol, était maintenant couvert de glace, et les autres meubles étaient maintenant glacés en casser. Mais tout ce qui est derrière toi ne gelait pas. Mais le froid était toujours là. Ta flamme avait de la misère à rester en vie.

Rykoff était outré de l'affront que que l'homme lui fit. Il se mit en colère.

-Moi qui je suis? Je suis un ancien habitant de cette maison et vous n'avez rien à faire ici.

Il ramena la boule de feu devant lui, qui avec sa colère avait gagné beaucoup en intensité et qui brûlait d'un feu bleu presque blanc pour montrer qu'il ne plaisantait pas. Il le mit devant le visage de l'homme. Aussitôt toute la pièce devint étouffante à cause de la chaleur. Le côté du l'inconnu fondait mais restait d'une température assez froide. C'était une guerre entre le froid et le chaud.

-Allons dehors. Je ne veux pas que toute la maison se casse à cause d'une connerie.

Il marcha vers la porte en prenant soin de ne pas baisser sa garde. Il prit au passage son bâton.

-Pourquoi pas ? Elle mériterait bien d'être détruite a mon avis...

Sur ces garde lui aussi, il regarda derrière lui. frustré il te dit :

- Bon, à cause de toi je les aient encore perdus !

Perdant son sang froid, il s'avanca d'un pas menacant vers toi. Puis, sans même attendre d'avoir sortit de la maison, il te poussa dans le mur et mit sa main sur ton épaule. Il était en train d'aborsber ta chaleur corporelle.

Rykoff sentait ses forces l'abandonner. Avant de perdre trop d'énergie, il lança sa boule de feu qui propulsa l'homme vers la porte. Celle-ci s'ouvrit à son passage et l'homme blanc s'écrasa dans la rue. Rykoff vint dans la porte. Il vit le feu sur la tunique de l'homme. Il l'amena vers lui pour en faire une autre boule de feu, même si il avait éteint le feu sur l'homme. Il fit multiplier la flamme en trois les fit grossir avant d'augmenter leur chaleur. Elle tournèrent au bleu, avant de palirent et devenir d'un blanc presque imperceptible.

-Ce n'est pas grave qu'ils se soient enfuies. De toute façon, c'est entre toi et moi maintenant. On va voir ce que peut faire la glace contre le feu.

Il sentait que les flammes faisaient presque brûler le sable en-dessous de lui. Une chance que ses vêtements étaient plus résistants que les autres à l'épreuve du feu. Il fit tourner ses trois boules de feu autour de lui.

L'élémentaliste, éteignit le feu sur son habit, mais n'eut pas le temps d'éteindre les autres petites flammes que tu avais déjà crées. Il se releva, avec en sa possession des petits cristaux de glaces qui, à vue d'oeil avaient l'air tranchantes. Le jeune homme souffla en direction du sol, et celui-ci devint de glace. Seule ton coin n'était pas gelée à cause de tes petites flammes.

- La glace contre le feu ! C'est la même chose que L'eau et le feu, un combat dans fin. Alors, ce n'est pas aujourd'hui que sa va changer. Pas pour moi en tout cas. Le feu ne peut rien contre la glace.

Et, sans attendre, il te lança les petits glaçons qu'il avait dans les mains, il y en avait une bonne dizaines.

Rykoff réagi tout de suite, il utilisa une des ses boules de feu et la transforma en mur de feu qu'il mit devant lui. Quand les glaçons rentrèrent dans le mur de feu, il n'en resorti rien, même pas de vapeur. Mais le mur de feu blanc avait tourné au bleu mauve. Il traversa le mur et réapparue l'autre côté et vit l'homme qui avait l'air abasourdi.

-Alors c'est tout ce que peut faire le froid.

Il avait encore deux boule de feu qui tournait autour de lui. Il devait prendre soin de les utiliser au moment opportun. Il prit le mur de flamme par magie et le lança dans leur direction. Rykoff passa au travers sans trop de difficulté, mais il ne savait pas comment l'homme allait réagir.

L'élémentaliste, fut certe un peu décu que tu ais ''esquivé'' son attaque. Il ne savait pas que tu pouvais crée un aussi grand mur avec une aussi petite flamme. Il avait bien remarqué les deux dernières flammes. Il allait lancé une autre attaque, mais tu lui lança le ''mur de feu'' sur lui. Il l'esquiva de justesse, en sautant sur le côté qui se finit en belle roulade. Il se redressa, avec un genou à terre. Subtilement, avec sa main, il prit un morceau de glace qui était sur le sol et la modifia en petite dague. Et de l'autre main, il fit apparaitre d'aute petit cristaux de glace, comme la précédente.

- C'est tout ce que peut faire le feu ?
Te répondit-il d'une façon provocatrice.

-Que feras-tu lorsque tes deux petites flammes seront mortes ?

Sans plus attendre de réponse, il te lança les petits cristaux de glace pour te distraire, et profita du moment pour s'approché de toi et d'éteindre tes petites flammes.

Rykoff fit une roulade pour éviter les cristaux de glace, mais lorsqu'il se releva, l'autre élémentaliste était devant lui et d'un simple coup de dague, il éteignit une des flammes qui l'entourait. Non! Il ne lui restait qu'une seule flamme. Il devait absolument la garder ou l'utiliser d'une manière qui le mettrait dans une bonne position. Tout à coup il eut une idée de ce qu'il pourrait faire, mais l'homme allait souffler sur la flamme. Il se mit en colère et utilisa sa flamme. Celle-ci fonça droit sur lui pour l'entourer de feu. Rykoff avait maintenant une aura de feu.

-Tu sais que je ne peux créé le feu, mais le contrôle sur ça est parfait. Je peut le grossir, le chauffer plus et le multiplier. Tant que j'ai une seule petite flamme, je peux tout faire.

Il créa un dome au dessus des deux élémentaliste et augmenta la chaleur dedans.

-Alors, comment tu trouve le pouvoir du feu. Il est beaucoup plus fort que celui du froid, dit-il pour le mettre en colère.

L'élémentaliste de froid avait à présent de la difficulté à respirer. Mais il était toujours attentif. Il inspira profondément, et réussit à controler sa ''fraicheur''corporelle. Elle refroidissait même un peu tes flammes au dessus de lui, sans plus. Il reforma sa petite dague, qui était en train de fondre.

- Tu sais, avec ce que tu viens de faire en ce moment, ton dôme, je pourrais justement le congelé aussi. Mais ça servirait à quoi ? Ce n'est pas de cette façon que je te vainquerai.

Il n'était pas vraiment loin l'un de l'autre. Il prit la dague et tenta de te donné un coup vers ton épaule.

Lorsque l'homme s'élança vers Rykoff, celui-ci ne broncha pas une seconde. Lorsque que l'homme allait frapper son épaule, il partit à rire, ce qui fit arrêter le geste de l'autre. Comme explication il lui dit:

-Le dôme ne t'attaquera pas, ne t'inquièete pas. En fait il ne t'attaquera pas directement. Je pense savoir que tu crées ta glace avec l'humiditer dans l'air. Mais avec le dôme que j'ai installé, il n'y en aura bientôt presque plus.

Pour confirmer ses dires, il mit sa main sur la dague de glace qui fondit et s'évapora en peu de seconde.

-Alors triste de ne pas avoir congeler le dôme avant. Comment vas-tu faire pour gagner maintenant? Même si tu essaie de congeler le dôme maintenant, il se passera la même chose qu'avec ta dague. Je continu a penser que le froid n'est rien à comparer au chaud.

Tout le sable était en train de sècher. Le gazon brûlait. Le dôme était étouffant.

- Qui te dit que j'ai besoin de l'eau pour me battre.

Tout en puisant ses force, il finit de congelé le dôme et le cassa d'un habille coup de pied. Enfin, de l'air frais. Puis il n'attendit pas plus longtemps pour te frappé d'un magistral coup de poing.

Rykoff fut très surprit qu'il soit aussi fort dans le dôme de feu, sur tout lorsqu'il réussi à le congeler et le casser. Quand il fut propulsé vers l'arrière et qu'il tomba face première dans le sable, il failli perdre sa concentration et de perdre en même temps son aura. Il remarqua son bâton qui était au-dessus de sa tête et le ramassa en se levant.

-Juste une chose, j'aime savoir le nom de mes adversaires avant de les battre. Quel est le tien?

Il prenna tout de ce qu'il restait de son aura et enflamma son bâton qui devint bleu pâle. Il lui fit faire des courbettes et des grands cercles avant de le reprendre droit dans ses mains.

- Mon nom ? Tu le sauras avant que je t'achève !

Puis, Il dégaina deux épées courte, et pour le plaisir de t'imité, il fit apparaitre une aura, d'un bleu très pâle et glacial. Puis il se mit en position de combat. Une des deux épée était plus avancé et l'autre était plus près de son corps. Avec sa bouche, il te soufla un petit vent froid, juste pour te frustré à son tour.